Le RIDJA-PACTEF de Said Larifou boycotte les élections législatives et communales des Comores
Introduction Dans un contexte politique tendu, le RIDJA-PACTEF, sous la direction de Maître Said Larifou, a annoncé son boycott des élections législatives et communales aux Comores. Cette décision forte, prise en réaction aux conditions électorales jugées inéquitables, vise à interpeller la communauté nationale et internationale sur l’absence de garanties d’élections transparentes.
Un boycott motivé par le manque de transparence électorale Le principal mot clé ici est « manque de transparence électorale ». Selon Said Larifou, les élections ne présentent pas les conditions minimales de transparence requises. Le RIDJA-PACTEF a également souligné des irrégularités persistantes et l’absence de mesures garantissant une compétition électorale équitable pour tous les partis.
Un appel à la révision du processus électoral Le RIDJA-PACTEF, porté par Maître Larifou, exhorte les autorités comoriennes à reconsidérer le processus électoral actuel. Le mot clé important ici est « révision du processus électoral ». Le parti déclare que tant que des garanties concrètes sur la transparence et l’équité ne seront pas mises en place, il ne participera pas aux scrutins.
Le soutien de la communauté internationale Said Larifou appelle à l’intervention de la communauté internationale pour encourager un dialogue constructif entre le gouvernement et les partis d’opposition. Avec « soutien de la communauté internationale » comme mot clé, il espère sensibiliser l’opinion publique mondiale et créer une pression positive sur les autorités en place.
Conclusion La décision du RIDJA-PACTEF de boycotter les élections vise à mettre en lumière les dérives d’un processus électoral défaillant aux Comores. Maître Said Larifou réaffirme son engagement envers des élections libres et transparentes, dans l’intérêt des Comoriens et de la démocratie.
Provenance de l’article : Cet article s’inspire de la publication originale de Midiactu.