Me Saïd Larifou, un avocat engagé sur les scènes internationales pour défendre la cause comorienne
Maître Saïd Larifou, président du RIDJA-PACTEF, est reconnu pour son engagement inlassable sur plusieurs fronts internationaux. De la Biélorussie à Genève, en passant par le Sénégal, il œuvre avec passion pour soutenir la cause comorienne, notamment en aidant les étudiants emprisonnés et en dénonçant les violences politiques.
1. Intervention en Biélorussie : Sauver les étudiants comoriens emprisonnés
Récemment, Saïd Larifou a attiré l’attention internationale lors de son voyage en Biélorussie. Son objectif était de venir en aide aux étudiants comoriens injustement emprisonnés. Ce déplacement a montré une fois de plus son engagement à défendre les droits des citoyens comoriens, où qu’ils soient.
2. Genève : Sensibilisation des Nations-Unies
À Genève, Larifou a rencontré le Haut Commissariat des Réfugiés de l’ONU pour alerter sur le sort des militaires comoriens qui ont déserté après avoir été témoins des exactions du colonel Azali Assoumani. Cette mission souligne son engagement à mettre fin aux injustices envers les militaires qui ont osé s’opposer au régime en place.
3. Afrique de l’Est et rencontre avec Ousmane Sonko
Après un bref séjour en Afrique de l’Est, Larifou a rencontré son ancien client, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko. Cette réunion a permis d’aborder la situation politique actuelle en Afrique et de renforcer les liens entre les forces africaines dans la lutte contre l’oppression.
4. Sensibilisation sur la situation politique aux Comores
Lors de ses rencontres au Sénégal avec des leaders africains, Saïd Larifou a insisté sur la dégradation inquiétante de la situation politique et sécuritaire aux Comores. Son travail consiste à sensibiliser la communauté internationale à ces problèmes, dans l’espoir de susciter une réponse internationale face aux violations des droits humains
Conclusion
Me Saïd Larifou, avocat et homme politique franco-comorien, est un acteur clé dans la défense des droits humains et la justice aux Comores. Il est particulièrement critique envers le régime du colonel Azali Assoumani, qu’il accuse de violer les droits de l’homme et d’imposer une dictature violente. Saïd Larifou a dénoncé les assassinats politiques, les tortures, et la répression exercée sur les opposants au régime, notamment les militaires déserteurs témoins de ces crimes.
En tant que président du RIDJA-PACTEF, un mouvement panafricaniste, Larifou milite pour une justice internationale, cherchant à traduire en justice les responsables des crimes commis sous le régime d’Azali. Il s’engage également à défendre les réfugiés comoriens et sensibiliser la communauté internationale sur la situation politique des Comores.
Son influence s’étend au-delà des frontières nationales, renforçant l’idée qu’une justice internationale est nécessaire pour résoudre les crises internes.